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Réflexions de Vincent Pluymackers à propos des vœux de Laurent pour l’année 2016 (23/12/2015)
Laurent,
Ton texte est interpellant parce qu’il évoque sans trop de détour les éléments clés de ce que tu vis dans ta fonction de président du SFP mobilité tout en faisant émerger une analyse qui peut être transposée dans d’autres nombreux événements qui se trament actuellement dans le monde tant au niveau local que global.
Je ne me permettrai donc pas de venir greffer des idées ou des nuances qui sont propres à mon autoréférentiel et qui n’auraient comme résultat que de dénaturer l’harmonie d’un tout somme toute très cohérent.
J’ai préféré me laisser inspirer après deux trois lectures de ton texte vers une réflexion qui ramène vers la surface des aspects importants de moi-même qui structurent ma vision de ma raison d’être, mon rôle, de ma fonction dans ce monde actuel.
Pour nourrir nos réflexions respectives, j’aimerais créer une grande et belle intersection en reprenant le squelette de ton texte. Je resterai donc fidèle à l’enseignement du maître : « Fais ce que la situation requiert » et aux trois besoins que tu a particulièrement travaillé cette année 2015.
I- Une vie accomplie
Martin Luther King dans son recueil « la force d’aimer » est évocateur à plus d’un titre :
« La vie devrait être robuste et achevée de toutes parts. Toute vie achevée comprend les trois dimensions : longueur, largeur, hauteur. La longueur est la démarche intérieure, la larguer est la préoccupation extérieure du bien-être d’autrui et la hauteur est l’élévation qui nous ramène au tout (Dieu). »
Cela me fait penser aussi aux principes des philosophies orientales du Taoïsme, le Livre des Changements (Yi King) et à divers auteurs comme Carl Young, Stephen R. Covey, etc.
Ces trois dimensions forment un tout unique et indivisible :
1- La longueur de la vie
La longueur de la vie durant laquelle l’individu a le souci de développer ses possibilités intérieures. C’est la dimension dite intéressée de la vie, selon Martin L.K. . Cet intérêt personnel est naturel s’il reste raisonnable et sain. S’intéresser au soi véritable pourrait se définir « S’aimer soi-même ». Cela prend du temps et sous-tend ces qualités que chacun doit pouvoir développer pour mieux se comprendre. Citons la patience, la persévérance, la tempérance, l’indulgence et j’en passe.
« Bien comprendre ce pour quoi on est fait, s’y donner avec passion et passer à la réalisation de soi » semble être une condition sine qua non selon Martin L. K. pour s’unir à soi autant qu’avec les autres.
S’en empêcher nous enchaine selon lui dans un égocentrisme paralysant. The « way of life » des Etats-Unis d’Amérique, qui cristallise les relations avec ce qui est différent et compromettrait cette belle route linéaire, en est un bel exemple.
L’indépendance à tout prix nous ramène vers une dépendance intérieure malsaine (l’égo) et non plus vers une interdépendance perméable, ouvert au monde qui nous entoure, nous englobe et nous unit.
- Dixit, point 1 : le besoin de plaire
2- La largeur
« La vie doit inclure la largeur, englober la préoccupation du bien-être d’autrui ; de quoi se donner de l’air, du mouvement, de l’échange sinon nous serions destinés à stagner. » L’intérêt personnel doit être marié à l’intérêt collectif. Aucune nation en peut vivre isolée ; le destin d’une nation dépend de celui des autres où tous sommes impliqués dans une même évolution et par conséquent interdépendants.
- Dixit, point 2 : le besoin de contrôler la situation
3- La hauteur
La hauteur, ce qui doit nous faire tendre vers le haut, quelque chose de plus grand que l’humanité, ce tout universel qui est la source et le fondement de toute réalité. L’ordre des choses répond à des règles qui nous dépassent et nous invitent à accepter l’ordre du chaos et y plonger en toute confiance.
« On ne peut jamais palper l’amour et la foi, on peut voir le corps mais ce n’est pas lui qui raisonne ni ne pense. Ce qui me définit dépasse la rationalité de la matière, cette chose invisible que l’on appelle la personnalité va bien au-delà des choses. »
Platon disait que le visible est une ombre projetée par l’invisible. La quête de ce qui donne un sens au tout doit faire partie de notre travail au quotidien. Un travail qui requiert une présence d’esprit, légère, subtile, sensitive puisque impalpable. Cette réflexion est une invitation à se dépasser, dépasser la rationalité de notre présence sur terre, embrasser le tout, s’y fondre avec confiance et courage !
- Dixit, point 3 : le besoin de croire en la puissance de notre volonté
L’homme aura toujours le choix ; le choix de donner un sens à sa vie : la détruire ou la construire ; mais aussi à orienter son axe comme une aiguille en mouvement rotatif sur la boussole de sa vie.
Sa réalisation doit naturellement dépasser sa propre vie, lâcher-prise sur soi, accomplir une œuvre dont on est qu’un acteur temporaire ; comme contribuer à la construction d’une cathédrale sans voir son achèvement avant sa mort. « C’est comme cela qu’on pourra atteindre le sentiment d’avoir eu une vie achevée, lorsque l’achèvement de l’œuvre à laquelle on s’adonne dépasse son propre achèvement…. »
II- La crainte et la peur
La crainte n’est pas dans l’amour, l’amour parfait bannit la crainte ; car la crainte suppose un châtiment et celui qui craint n’est pas parfait dans l’amour
I Jean 4,18
Dans notre développement personnel, l’homme est en quête de l’équilibre que l’on voudrait parfait mais qui reste éternellement inatteignable puisque la vie est intrinsèquement dynamique et impermanente. L’état statique de la vie n’est donc qu’un leurre. On ne peut que s’y fondre et profiter du flux comme pagailler en kayak dans le torrent d’une rivière.
La peur, cette étrange émotion que tout le monde désir éviter, s’avère tout de même être une balise saine pour éviter des dangers et de réels problèmes (se blesser, manquer de…, mourir). Mais ces peurs doivent être gérée, « dit-gérées » et en aucun cas négligées au risque de leur donner un pouvoir qui, à terme, risque de dégénérer en avatars qui se donneront un malin plaisir à corrompre notre vision de la réalité et tarir notre source d’inspiration originelle.
Deux types de peurs primaires existent selon Freud : tomber et des bruits violents. Il y a la peur normale comme celle de serpents dans la brousse africaine ; et celle plus toxique de la peur de serpents grouillants sous la carpette de son salon. Et beaucoup d’entre-elles dans nos vies sont des serpents sous la carpette. La peur (normale) nous protège et par contre si elle est mal gérée dans le temps (anormal), elle nous paralyse.
Quelles sont donc les solutions à apporter pour ne plus tomber dans le piège de nos peurs toxiques ?… ne plus être dominé par notre égo et inclure le monde qui nous entoure dans nos ambitions personnelles ? L’idée serait de la brider, la maitriser mais en aucun cas la supprimer ! Comment ?
1- Faire face à la peur
Martin L. K. estime que fuir la peur ne la jamais fait disparaître ; que tu contraire ! Elle réapparaitrait sous diverses formes qui n’engendreront toujours plus que d’autres formes de peurs. Les ramener en avant-plan permet de découvrir leur supercherie, les peurs ont enflés et pris des proportions démesurées qu’il est utile d’observer avec un certain recul et pourquoi pas la dérision, le rire, le lâcher prise.
L’égo est bien entendu cette forme complexe, invisible qui donne vie à notre être qui s’identifie à quelque chose dont la mission est de ne surtout pas remettre en question ces peurs sourdes mais bien vivaces en soi. L’égo génère souvent autour de lui la terreur et le conflit qui règne en cet être divisé, puisque détourné, « dés-intégré » de ce qui l’EST fondamentalement.
- Dixit: le besoin de plaire
2- Développer le courage
« La peur peut être maîtrisée par le courage » comme le cite Platon qui jette un pont entre la raison et le désir. Aristote pensait que « le courage est même l’affirmation de la nature essentielle de l’homme ».
« Le courage est par conséquent la capacité de l’esprit à surmonter la peur. Le courage isole la peur de l’objet qui la produit et ainsi la domine. Cette affirmation de soi n’est pas un égoïsme car l’affirmation inclut à la fois un amour de soi correct et un amour d’autrui correctement formulé. »
Erich Fromm a montré de façon convaincante qu’un amour de soi bien compris et un amour bien compris pour les autres sont en dépendance réciproque.
« Le courage, la détermination à ne se laisser accabler par aucune chose, si effrayante soit-elle, nous rend capables de faire face à n’importe quel peur. Beaucoup de nos craintes ne sont que des serpents sous la carpette.
Le courage et la lâcheté sont antithétiques. La lâcheté est la soumission aux circonstances ; elle refoule la peur. Le courage engendre une affirmation de soi constructive ; la lâcheté produit une démission de soi destructive.
Jamais les courageux ne perdent le goût de la vie, même quand leur vie est sans goût ; les lâches, écrasés par les incertitudes de l’existence, perdent la volonté de vivre. »
- Dixit : le besoin de contrôler la situation
3- Nourrir l’amour du vivant, capacité d’encaisser, seul remède aux différentes formes qui découlent de la peur originelle.
La peur génère à terme, nous le voyons dans maintes situations actuelles la haine de l’autre. Et seul l’amour peut la vaincre. La haine est le résultat de conflits d’intérêts, d’une non-prise en compte de ce qui permet à l’autre d’accomplir sa vie. Dès lors on note l’émergence de sentiments de supériorité, d’autorité démesurée avec tout son lot de sentiments négatifs (dédain, jalousie, envie, manque de confiance en soi, sabotage, déni, rejet…).
La divergence créer le clivage, lui-même source de conflits ensuite de rancœur (l’inverse de l’amour du cœur) et enfin de haine, forme éthérée de la dissociation, la séparation. Seul la compréhension de l’autre permettra de revenir à l’amour comme l’amour est un préalable pour accomplir cette tâche. L’amour est avant, pendant et après, il est tout ! Il est « nous ».
- Dixit : le besoin de croire en la puissance de notre volonté
4- Induire la foi, ciment de l’édifice à trois côtés
Martin L. K. nous exprime que « la foi est ce fluide auquel on décide de se raccrocher quand la complexité de l’être ne nous permet plus pendant un temps de gérer le navire. » C’est un lâcher prise profond retour vers le soi unique profond (1) qui nous relie au tout unique l’infini ou l’ « ‘1’fini ». Avoir la foi, c’est adhérer avec l’idée de s’inspirer perpétuellement de la source universelle et originelle de notre vie!
C’est reconnaître que la vie est bien le fruit d’un appelé « hasard » bienveillant, une intelligence, quand on laisse tomber nos propres barrières, nous propulse vers la réalisation du Soi unique en gestation. Avoir le courage de le reconnaître, c’est s’octroyer un champ d’expériences générant une sagesse charriant dans son sillage un flot d’indicateurs positifs (émotions et de sentiments) qui remplissent véritablement nos vies et lui donne un sens véritable.
Lâcher prise, c’est s’en référer à la foi qu’une vie sur terre est beaucoup plus qu’une simple unité additionnée aux autres. Chacun (Chaque 1) renferme en son sein le tout puisque le tout ne fait qu’1. L’expression concrète de son champ des possibles élargit celui des autres qui par effet domino oseront d’autant plus exprimer le leur! Tout se tient, tout évolue dans un concert harmonique vers l’intégration ou la désintégration.
Voir çà comme çà, çà change tout ; et, dans un même temps, ….pas grand’chose ! 😉
Désolé si certaines parties sont encore probablement un peu confuses, mais c’est ce qui vient du cœur.
J’espère, en tout cas, que réflexion confortera ton souhait que l’année 2016 soit baignée sous le signe du courage pour chaque1 d’entre-nous !
Vincent
Cette phrase est en effet riche d’enseignements. En effet, par exemple dans ma vie actuelle, je suis convaincu que travailler ’un ‘conditionnement’, un état d’esprit est un garant pour aborder et vivre les évènements de la vie sous leur meilleur jour.
L’esprit se fonde donc sur un état, une sorte de fréquence vibratoire bien précise qui donne corps et cohérence à toutes nos interventions. Cette ‘vérité’, puisque tout ce qui existe devrait être vérifié par des lois de la physique (et bien d’autres) repose sur des dites « lois universelles ». Ces lois qui s’appliquent à tout élément de l’Univers et donc nous rendent un ‘1’ et indivisibles puisque nous faisons partie de ce tout.
L’esprit ne peut influencer son état qu’en sachant de mettre en position ‘méta’, pour prendre conscience de ce qu’il est, ce qu’il fait et ce qu’il serait plutôt supposé faire.
La vie n’a de sens que si on est capable de se distinguer les uns les autres. Prendre conscience donne la consistance indispensable pour que la vie ait du sens. : le blanc de ne peut être défini et exister seulement parcequ’il y a du noir, différent du blanc. Le yin et le Yang sont un et indivisibles. L’un est dans l’autre ; L’un renferme toujours une partie de l’autre….
Intervient alors la liberté de l’homme, celle qui lui permet de décider comment exploiter ces différences ; soit de manière réductrice, à son profit unique ou soit réservées à une minorité (réductionnisme – dégradation) ou au plus grand nombre (constructivisme, élévation).
Cette liberté dépend de nombreux paramètres en interrelation perpétuelle ; ce qui rend cette quête de liberté éternellement instable, changeante, indéfinissable dans des termes précis. La liberté est invisible. Elle est tout et rien à la fois. On parlera d’un état de bien-être, ou de mieux-être pour marquer l’évolution dynamique de l’état statique, défini à un instant ‘t’.
Ce qui structure et permet le développement de l’être passe par la recherche de balises permettant de repérer cette ligne d’équilibre doit être trouvé entre l’intérieur et l’extérieur, cette recherche d’équilibre suppose un perméabilité, et donc une capacité à se laisser pénétrer par les événements de la vie mais aussi à prendre conscience des effets qu’elle engendre sur nous. La vie nous secoue pour faciliter cette recherche d’équilibre tant désirée. L’osmose avec le vivant est gage d’équilibre. Or, il s’agit ici d’un équilibre instable, la réalité intrinsèque de la vie, l’instabilité ramène à l’équilibre. Elle est impermannete, ce qui fait que ce sera un travail de tous les instants, c’est çà la vie, se sentir vivre, se sentir confronté au chaos d’un environnement qui est le reste du « nous » global. Y travailler à chaque instant est la voie royale pour se sentir en communion, sentir ce tout dans lequel on habite et qui nous habite.
La systémique propre et chère par exemple à Joël de Rosnay est une approche qui tend à nous unir au ‘méta’. A définir de strates entre les différents tous dans lesquels l’individu s’imbrique. Le SFP est un tout dans lequel ses membres actifs s’imbriquent. La vie du SFP n’est pas uniquement la somme des parties, perception linéaire et cartésienne d’une sommation simple d’individualité prises séparément (cloisonnés), non, le SFP est bien plus que cela puisque ce système n’est pas statique ni cloisonné, il est en interaction dyanmique tant en interne qu’avec l’extérieur ; il interagit et donc il agit et réagit ; il est créateur d’actions qui sont le résultats de ses interactions dont différentes, nouvelles ; c’est ce ‘plus’ qui est d’une certaine manière l’essence du vivant ; agir et produire ce qui nous dépasse, acte créateur
A voir le sens que prenne ces actions/ événements : d’où l’importance de développer un leadership clairvoyant. Pas seulement pour le chef unique dont le travail pour comprendre l’interne et l’externe augmente le risque d’erreur dans les décisions prises mais pour toute lsa structure chacun à son niveau de manière à obtenir une fluidité de la communication utile au tout et développer une réactivité aux événements exterieurs en phase avec la mission que le SFP incarne et qui la définis.
Quelques réflexions de Laurent sur la méditation en entreprise (dans le prolongement des voeux)
Om kort door de bocht te zijn : ce sont là des phénomènes de notre société actuelles, intimement liés. Ils expriment, selon moi,
– d’une part la frustration grandissante parmi de nombreuses personnes due à l’écart entre leurs attentes d’épanouissement au travail et la réalité de celui-ci, trop souvent encore coincé par des règles, des procédures, et des structures de gouvernance dépassées (les études montrent que le burn-out survient surtout chez les personnes à la fois très engagées dans leur travail et frustrées par celui-ci; j’ai lu récemment qu’une grande proportion de burnout – BATTERY is EMPTY – est en fait de la surcharge cognitive – MEMORY is FULL – voir à ce propos les travaux de Régine Sponar, philosophe et psychologue clinicienne – ;
– d’autre part l’espoir que la méditation, le yoga,… ou d’autres activités/techniques similaires puissent contribuer à réduire cette frustration.
Le problème est que certaines personnes ont vu là une opportunité business phénoménale, et vendent maintenant des livres, des cours, des séminaires, des séances de coaching, des apps concernant la méditation, le yoga,… à la fois aux employés (en leur promettant paix et sérénité malgré le stress au travail) et aux entreprises (en leur promettant que cela leur permettra d’augmenter encore plus la résilience et la productivité de leurs employés).
Meditatie en yoga (om alleen die twee te noemen) zijn op zich zeer goed. En kunnen natuurlijk veel van ons helpen. Maar laten wij eerst zorgen dat ze niet geinstrumentaliseerd worden. Zoals « ethiek » of « social responsability » soms door marketing en communication managers geinstrumentaliseerd worden.
Meditatie, yoga,… op het werk dan ? Ok, voor zover zij gepaard gaan met maatregelen binnen de organisatie die zorgen voor een cultuur op het werk waarin het respect, de persoonlijke en professionnele ontplooing, en de natuurlijke zelf-sturingsdrang van iedere medewerker effectief promoveert.
C’est en tout cas ce que nous essayons de faire au sein du SPF Mobilité dans lequel se trouve Beliris. Tout n’est pas parfait loin de là mais nous essayons, en toute honnêteté, et avec parfois de (trop) maigres moyens et marges de manoeuvre, d’oeuvrer en ce sens. C’est ainsi que la session de méditation que nous organisons ce jeudi 14/01 s’inscrit dans un projet plus large au sein du SPF qui vise à promouvoir une culture de travail marquée par le respect pour chacun, le développement personnel et professionnel et l’autonomie.
Par ailleurs, n’oublions pas non plus que la pratiquer de la méditation ou du yoga s’inscrivent naturellement dans une démarche qui n’est pas seulement physique ou psychologique mais également spirituelle. Sur ce point, je suis convaincu que la « libération » recherchée aujourd’hui par tant de personnes, et qui peut survenir suite à la pratique régulière de la méditation ou du yoga, ne survient que si ces « techniques » sont pratiquées dans le cadre d’un cheminement « spirituel », c’est-à-dire qui dépasse la recherche du bien-être personnel, individuel. A ce propos, j’apprécie les paroles d’un maître de bouddhisme zen occidental, Eric Rommeluère, dont voici le blog. J’aime aussi l’approche de Dominique Steiler, fondateur de la Chaire ‘Mindfulness, bien-être au travail et paix économique’.
Pour terminer, vous trouverez ici, pour ceux que ce sujet intéresse, le lien vers mes « voeux » pour 2016 et le partage de quelques réflexions sur les expériences que j’ai vécues en 2015. J’y évoque indirectement comment la méditation, entre autres, m’a aidé à traverser avec une certaine sérénité.